Bondamanjak

L’IMPORTANT C’EST LA ROSE DEGUISEE EN TULIPE

L e Conseil national d'un Parti Socialiste déchiré, a voté ce samedi 4 juin la mise en place d'un nouvel ordre avec l'éviction de Laurent Fabius et de ses partisans, a annoncé le porte-parole du PS Julien Dray. Par 167 voix pour, 122 contre et 18 abstentions ce vote empreint de honte, a permis ce coup d'état légal orchestré par le numéro 1 du parti François Hollande dont le charisme devient de plus en plus vaporeux. L'ex premier ministre Laurent Fabius, qui était numéro deux du PS, avait mené la campagne pour le non au référendum sur la Constitution européenne, alors que le parti avait voté en faveur de la Constitution lors d'un référendum en interne. Le Conseil national a également voté la convocation d'un congrès anticipé, le 18 novembre 2005. Claude Bartolone, autre fervent partisan du non a, lui aussi, été évincé de la direction. Comme quoi, pour un oui ou pour un non…