Mais un porte-parole de l’agence de Séoul de Garuda a reconnu que l’affaire était « très gênante », et que la procédure normale de tests médicaux ne prévoyait pas de tels examens. « Nous enquêtons et interrogeons l’encadrement et le médecin responsable », a déclaré Park Sung-hyun à l’AFP. « Nous n’avons jamais entendu parler, ou fait, de tels examens sur notre personnel », a déclaré de son côté une porte-parole de la compagnie nationale sud-coréenne Korean Air. « Je me demande si ça veut dire que les passagères avec des implants mammaires ne devraient pas voler », a-t-elle dit, jugeant ces tests « bizarres ». « Je me demande si de telles pratiques seraient acceptables en Indonésie », plus grand pays musulman au monde, se demandait pour sa part Kim Da-mi, du Centre contre les violences sexuelles de Séoul.
Source : www.lepoint.fr