Encore une fois l’organisation a été au dessous de tout avec un circuit dédoublé prémices d’un carnaval à deux vitesses. La télévision statique a entrainé le blocage des vidés et des chars sur la Levée. On ne peut pas dire que les commentaires compensaient la gêne occasionnée. Ce n’est pas nouveau, le dire année après année ne sert apparemment à rien.
Une secte chrétienne avait installé sa sono à hauteur de l’Atrium et abrutissait les spectateurs de ses prêches enflammés et assourdissants. Là encore, ce n’est pas nouveau et apparemment aussi ça ne gène personne des pouvoirs publics. Pourtant, il y a là un trouble manifeste de l’ordre public.
Comme chaque année, la population est descendue pour s’amuser et participer à son carnaval populaire, bon enfant, imaginatif, endiablé et chaud bouillant.
Ba yo lè
Group-la ka chofé
Dé sè ka ri ba foto-a
Papa Djab
Mmmmmmmm
Twa initil douvan an bar ka gadé mas pasé
Misié pa ka sann an moun ki fasil, tann