Pour que l’état français s’occupe de l’outremer, il faut environ…7 mois. Depuis décembre 2013 le chikungunya en mode développement durable en #Martinique, en #Guadeloupe et en #Guyane. Aujourd’hui, l’épidémie offre des chiffres inquiétants. La barre des 100 000 atteints est largement franchie. 33 morts. Alors le ministère de la santé en personne se bouge le Q.I car la mère patrie peut être le nouveau terrain de jeu du moustique.
Eh oui…les domiens voyagent malgré le prix empreint de vaseline des billets d’avion. Et le danger est là.
Ils peuvent nous ramener leur cochonnerie à la con. Eh oui…le moustique voyage bien. Dans les valises et ailleurs. Et vous imaginez les conséquences de cette épidémie en #France…oh mon dieu. Pour l’heure les médias hexagonaux ont compris la problématique notamment #BFMTV qui est clair, tant que cela reste chez vous rien à foutre, mais si vous nous le ramenez de chez vous alors cela ne va plus!
« L’arrivée massive des vacanciers dans les Antilles à l’orée de la saison des pluies, propice à un renforcement de l’épidémie de chikungunya, mobilise tous les acteurs pour informer la population et limiter le retour du virus dans l’Hexagone à la fin de l’été.
Environ 400.000 personnes partent chaque été de métropole pour se rendre en Martinique, en Guadeloupe, à Saint-Martin, Saint-Barthélemy ou en Guyane. Beaucoup sont des ultramarins, en visite dans leur famille selon les compagnies aériennes, qui n’enregistrent pas de baisse notable de réservations. »