Dans la rubrique « Quand il ne reste plus rien la communication tente le va-tout » la Collectivité Territoriale de Martinique vient de toucher le fond.
Fin de semaine dernière, Bernard Bally le propriétaire du FAMEUX et désormais CÉLÈBRE terrain de SÉGUINEAU aurait été convié à une réunion dans le bureau d’Alfred Marie-Jeanne le président du Conseil Exécutif.
On lui aurait demandé de venir seul. Il est venu avec son neveu. Pas con.
L’ordre du jour coule de source. Il est question de négocier le montant de l’achat du terrain qui se situe sur la commune du Lorrain en mode by l’eau l’eau. 225 000 € c’est la somme réclamée.
Mais ce montant pose problème et surtout l’opinion publique trouve scandaleux que les contribuables aient à payer autant de pognon (rime en gnon) pour un terrain farci au chlordécone hayotien.
Il y a même une pétition qui circule contre ce crime contre l’humanité. Même Antoine Crozat (poutan misié té an modèl de isalop pa bagay lafèt) aurait refusé une telle offre.
L’entretien se déroule donc au troisième étage de l’immeuble de Plateau Roy. Ils sont cinq dans le bunker présidentiel. Alfred Marie-Jeanne, Maguy « Bayrou Law » Marie-Jeanne, le franc-maçon garde du corps Marcel Clodion, Bernard Bally et son neveu Couly.
Pas de bisous, gestes barrières et distanciation sociale obligent. La climatisation est réglée sur 24°c. Dans le coin droit de la salle, une carafe d’eau filtrée trône avec des verres sur un plateau d’argent sale.
La réunion commence en mode rougail saucisse. Alfred Marie-Jeanne use de ses mains gantées pour sortir une feuille qui signifie une nouvelle donne. Il présente le document à Bernard. Les yeux de ce dernier deviennent brusquement loli. Il lit…190 000 €. By Low law.
Et le leader « indépendantiste » explique au propriétaire terrien qu’il en est rien. C’est pour la communication grand public. Pour le Peup. Eh oui…quand le peuple y est…on touche du bois. Les 35 000 € qui manquent… »on va s’arranger pour trouver une manière de les verser… »an ba Fey ». Glissons. « Sa ki pas anlè lanmè pa ka rakonté a tè »
Bernard Bally est outré. Il n’ose pas le montrer mais le mal est fait; Il refuse. Il sait qu’on est pas à la fin de l’année 1684. Il ne faut pas abuser. Ça va se savoir.
La preuve…le contenu de cette scandaleuse négociation est déjà sur Bondamanjak au grand dam de Victor « Poulidor1 » Monlouis Bonnaire et Jean-Marc « Poulidor 2 » Pulvar. Sans commentaire mais comment taire ?