Ce dimanche 11 août 2019, Déborah, une jeune conductrice envisage d’aller à la Baccha Festival à la pointe faula au Vauclin en #martinique. C’est incontestablement le placeTobe du week-end sauf si vous êtes un féru de dachine. La miss est excitée comme un élastique. Elle est avec une amie. C’est le bon. Movééééé comme dirait Miguel J. Du bruit…la fumée. Direction côte est de l’île. Arrivées au niveau de l’usine du Simon. Pas jean-Joseph…l’autre, les deux jeunes femmes tournent à droite direction Periolat (avec un R ou deux) histoire d’éviter l’embouteillage provoqué par la CTM et Alfred Marie-Jeanne qui sont encore en train de faire des travaux. Putain…Pétain comment peut-on. Seule hic, ces routes de campagne peu fréquentées sont quand même en mode Cilaos…(petit clin d’oeil de borgne à Jérémy Edouard qui aurait eu l’occasion à cette occasion d’activer son redoutable regard de braise). Donc direction Perriolat sur le plat tout va bien. On ne sait pas où on va mais on suit les gens qui sont devant. Mais ça monte brusquement et les croisements ne sont pas évidents. En sus il suffit d’un gros 4X4 et un automobiliste un peu tout ce qu’on veut pour que ça se complique.
Et ça se complique pour Déborah au niveau du cacaoyer qui est avant la maison abandonnée dans le virage qui monte. Il est 16h…un véhicule descend mais…il ne laisse aucune chance à la miss qui essaie de contrôler sa Citroën C3. Il me semble que dans le code de la route…celui qui descend doit …bon bref.
Déborah met la marche arrière et là ça part en gonade « Tell you…biwa giwa ». Dans la précipitation elle rate sa sélection de vitesse et le véhicule part en marche arrière mais en point mort. Oh mon dieu, oh my God, oh djee zeus. Bond d’yeux cinq niais. Elle se retrouve dans la scabreuse position que figent les photos. Elle ne verra pas ce festival. Sa voiture…Faula remorquer. La dépanneuse est là. Elle a Ella ….Elle a…toutoulou toutoulou…