Le 29 avril 2007, L’ASSAUPAMAR, est à Sainte-Luce en Martinique pour libérer le littoral entravé par des clotures…Le 9 janvier 2009, le procès se déroule au Palais de Justice de Fort-de-France. Ce procès lié à la gestion du foncier sur l’île risque d’être historique de part sa forte conotation pigmentaire. A suivre.
Pour comprende le problème du littoral en Martinique :
http://www.bondamanjak.com/content/view/2802/66/
http://www.bondamanjak.com/content/view/3941/66/
http://www.bondamanjak.com/content/view/4087/
12h40. le propos pigmentaire est évoqué par un témoin propriétaire interrogé par Maitre Alex Ursulet.
13h25. Nouveau témoin.
Rumeurs dans la salle.
13h26. Le juge déclare : " Ne transformez pas mon tribunal en tribune politique"
14h00. Déjà 6 heures de procès.La troisième victime n’est pas présente.
Intervention de Maitre Germany qui interroge Mr Monrose qui est accusé d’avoir cassé les clôtures.
Ce dernier déclare que les gendarmes étaient présents en nombre…
14h15. Interruption de séance. Reprise prévue à 15h15
Reprise à 15 h 40
Garcin Malsa est dans la salle.
19h43. Mr Tourbillon est à la barre depuis pratiquement une heure…il est inerrogé par Maitre Thirault.
19h50 Maitre Constant demande à Mr Pascal Tourbillon de présenter l’ASSAUPAMAR…ce qu’il fait en démontrant le rôle écologique et sanitaire de la structure.
Pascal Tourbillon relate clairement les fondements du conflit. Le sieur a un dossier très fourni…qu’il déroule comme un film.
20h06. Pascal Tourbillon est un véritable code. Ce qui agace agréablement le président du tribunal. La durée du procès vient de franchir la barre des 12h.
20h34. Mr tourbillon est une vraie mine d’informations. On est en plein Grenelle…
20h50. Le président de l’ASSAUPAMAR Henri Louis Régis est à la barre…
…. e Mardi 6 novembre 2007, M. Christian Estrosi, secrétaire d’État chargé de l’outre-mer en réponse à une question d’Alfred Marie-Jeanne déclarait à l’Assemblée Nationale : "
Le littoral est au cœur d’enjeux humains et écologiques qui ont été
débattus lors du Grenelle de l’environnement. La loi garantit à tout
citoyen le droit de circuler librement le long des rivages français, en
métropole comme outre-mer. Nul ne saurait entraver cette liberté
fondamentale. Pourtant, il y a en Martinique, comme en Guadeloupe, des
propriétés privées qui empiètent illégalement sur la bande littorale
des cinquante pas géométriques, soit quatre-vingts mètres environ.
Plusieurs procédures judiciaires sont en cours : attendons leurs
résultats ! Pour autant, il est urgent de régler certains problèmes qui
nuisent à l’aménagement de la côte martiniquaise. Un décret d’application est en passe d’être expérimenté dans les communes du Vauclin et de Sainte-Luce, avant d’être généralisé à tout l’outre-mer dès l’an prochain.
Nous
sommes en juin 2008, un nouveau secrétaire d’Etat à l’Outre-mer plus
tard, ce dossier semble tomber à l’eau. On nous prend vraiment pour des
cons. Pire on aime ça.
23h48. Le procès se poursuit avec l’audition des témoins.
Il est minuit.Interruption de séance.Ce pocès affiche 16 h à son compteur. L’interruption devrait durer 15 minutes…