Bondamanjak

Martinique : les indigènes découvrent le racisme…les pieds dans l’eau la tête au soleil…chouette

Les originaires de #Martinique sont drôles. Entre un carnaval exutoire, un tour des yoles empreint de bikinis, de cunis, de culs nus et de ayenkini, ces schizophrènes prennent la vie pour un intarissable bol de toloman festif. Zouk la sé sel médikaman ou ni. Et quand la réalité leur tombe dessus comme coutelas sur un coco nain, tout le monde est étonné. Toudi par une violence qui dit tout.

Après le chlordécone second crime contre l’humanité, qui touche l’île, voilà le grand retour du RACISME bien français, fruit du métissage entre la colonisation et l’invention du sauvage.

Cet échange repéré sur la page Facebook du Club Med Les Boucaniers en Martinique, est un véritable Hub dédié au racisme glaire, qui démontre que la gestion de crise ne doit pas être entre les doigts d’un Community Manager qui gère « ça » comme un loisir de stagiaire cousin . Aussi, cela permet aux autochtones de « découvrir » les joies de la vraie vie. « Juste un soucis c’est un endroit magique mais la plage est toujours pleine de locaux ». Cette charmante  phrase décomplexée aurait toute sa place dans le Code Noir de Colbert.  

En août 2019 ça fera deux ans que je vous en parle quasiment tous les jours mais …tèt zot red. An jou…kalbas la ké fann.