Ces chiffres confirment qu’après le coup de frein consécutif à la grève générale de février, les hausses de prix ont recommencé à grignoter le niveau de vie des classes populaires.
Quant à ceux qui contrôlent les activités d’import-export et les circuits de distribution de l’île, que les manifestants traitaient d’exploiteurs-voleurs, ils prouvent qu’ils n’ont jamais aussi bien mérité cette qualification.
Source : http://www.lutte-ouvriere-journal.org/?act=artl&num=2154&id=17