C’est une bonne question…
Chers lecteurs, chères lectrices, si vous et moi, avions à rembourser une dette évaluée à… 🥁🥁🥁328 324, 92 €, nous serions bien emmerdés-es. Faisons quelques simulations pour mieux comprendre la complexité de ce cas de figure qui concerne la sénatrice de #Martinique la bien nommée …Catherine Hayot-Conconne.
Imaginons qu’ au nom de Djee Zeus et de Monseigneur Macaire, cette élue s’engage à respecter un échéancier.
En remboursant …
1500 €/mois – 12 mois = 18 000€. 328 000 / 18 000. Il lui faudra 18 ans pour arriver au bout de cette dette.
À 2000 € /mois – 12 mois = 24 000 €. 328 000 / 24 000. Il lui faudra 13 ans et 6 mois pour arriver au bout de cette dette.
À 3000 €/mois – 12 mois = 36 000 € . 328 000 / 36 000. Il lui faudra 9 ans pour arriver au bout de cette dette.
Allez soyons fous.
À 5000 €/mois – 12 mois = 60 000 € . 328 000 / 60 000. Il lui faudra 5 ans et 4 mois pour arriver au bout de cette dette.
Il faut avouer que cette dernière simulation fait dans le farfelu. Un peu comme notre Cathou, la tivolienne, qui lit très mal dans le marc de café.
Alors qui a payé cette dette qui est un fardeau autant abyssal que sale ?
Perrinon Invest a dû s’assoir sur cette belle somme ? Pas sûr. Et c’est là qu’intervient dans ce succion feuilleton braise îlien Bernard Hayot, paysagiste dostalynien, le Putine your ass dans un univers où il faut savoir lutter russe. Selon nos sources deux sociétés dont une dans la banane auraient servi à éponger la dette.
Eh oui… il ne faut pas de casseroles quand on veut jouer les premiers rôles.
Nos enquêteurs vont tenter de faire boire, le sang de l’alliance nouvelle et éternelle qui sera versé pour vous et pour la multitude, à certains acteurs de la vie locale lors du Tour des yoles pour en savoir plus. Ils vont parler.
En attendant, Cathou sache que tu auras du mal…beaucoup de mal à discréditer Bondamanjak avant… 2021.
Michaël Léton ton macoute qui, présent ce 16 juillet 2019 à ta messe pour dupes en mode Nicolas V, de Madiana, ne pourra plus nier son implication politique à tes côtés, n’est pas assez fort pour me déstabiliser.
Je t’invite donc toi et tes nouveaux amis à m’éliminer physiquement. Tu vois ce que je veux dire ? C’est la seule solution car je ne vais pas te lâcher. J’avais ça à te dire. Te voilà avertie.
À suivre.
gilles dégras