Au début, c’était vraisemblablement une graine sortie de la bouche d’un gourmand mangeur de tamarin de Thaïlande . Quelques années plus tard, le bac à fleurs qui la recueilli subit les vertes et rigoureuses attaques de son système radiculaire.
Eh oui, grâce à la tiède mansuétude des hommes. Des foyalais. Il est aujourd’hui un bel arbre qui a fait du béton sa terre. Demain…va-t-on couper le tamarinier de l’Atrium à Fort-de-France en Martinique ? Bonne question.