Puisque nos intellectuels (les), nos médias, nos journalistes anesthésiés (es), nos politiques, nos artistes ultramarins n’y pensent pas, il faut remercier le journal Libération (notre Schoelcher moderne) d’évoquer le sujet.
En #Martinique, en #Guyane, en #Guadeloupe, à La Réunion et presque partout en Outremer, on trouve des vestiges de l’esclavage et de la colonisation entre rues, boulevards, statues, bustes et places.
Ça ne dérange personne. Pas plus le nègre hédoniste, zoukeur kokeur, le mulâtre bellâtre que le béké profiteur.
La feuille du courbaril métis qui brouille le réel, donne l’illusion que le baril et la mèche avide d’étincelle, sont empreints de poudre aux yeux.
Ailleurs dans le monde, les symboles, les statues tombent, pire, chutent brisant le CHUT.
Ailleurs, dans le bleu, le blanc, le rouge de la bwanalisation glaire, sur les terres de Damas, Césaire, Domota, Sudel Fuma, les statuts qui ont la dent dure durent. Pathétique.
Merci papa #Libération…merci Bwana !!!
gilles dégras