C’est fait. Après une coupe du monde apocalyptique en 2010, quatre ans d’incertitude marqués par des psychodrames permanents, une Coupe d’Europe 2012 de misérable, une campagne de qualification au mondial chaotique, éclairés par un match de référence contre l’Ukraine au retour, acte fondateur de cette équipe de France, les tricolores, heureusement sans Ribéry, ont renoué avec les sommets en se qualifiant aisément pour les 8èmes de finale où ils rencontreront l’équipe du Nigeria, géant africain au pied d’argile.
Cet après midi, une équipe expérimentale et surprenante avec Sissoko ailier droit a concédé un match nul à une robuste mais peu imaginative équipe de l’Equateur. Si les supporters français ont quelquefois tremblé des contre attaques et des virevoltes de Moreno et Valencia, ils ont pu apprécier un nombre incalculable de coups de coude, euh, non, d’occasions des français butant systématiquement sur un #Dominguez comme aimanté.
On aurait quand même aimé voir #Loic Rémy, le Prince de Volga-Plage, un peu plus longtemps sur le terrain pas misié ni bon boul an pié’y, tann !
– C’est fait l’ami, c’est fait. Finalement, quand je vois cette équipe, j’m dis que la blessure de #Ribéry le malélevé, c’était une bénédiction. Lui, il faisait quand même un peu tâche. Même #Benzema ma Benz qui est bien propre sur lui. Y’a que des garçons bien élevés maintenant en équipe de France et la Fédération derrière qui ripoline tout ça. C’est propre. C’est beau.
– Propre ? #Pogba qui fout des coups de pied au premier match, Sakho et #Giroud qui coudent le nez de leurs marqueurs, tu appelles ça propre ?
– C’est quoi encore cette histoire de coup de coude de #Sakho ? Hey l’ami, attend. Tu as vu un coup de coude ? Moi, j’ai rien vu. Ah, les journalistes, quand même. Ni Sakho, ni Giroud n’ont donné de coup de coude, non mais….
– T’as rien vu ? Normal, tu avais les yeux collés au derrière de la bimbo avec le maillot du Brésil échancré, sans soutifs qui remuait ses tétés devant toi. … (in petto) trop de Skol tiède, trop de chaleur, trop de bruit, trop de…. joie.
Harry Herr Gol