Garder les yeux ouverts, observer et condamner les blessures infligées. Se dresser devant l’outrage. Ne pas baisser la garde, ne pas douter. Ne jamais être trop réaliste. Semer l’émotion, cultiver la sensibilité. Apprendre le courage, la dignité. Professer l’amour, la fraternité, le don de soi. Telle est de lui, en quelques mots l’image qui restera. N’y a-t-il pas d’issue que la résignation, la faim et la misère. Comment rire ou s’assoupir quand d’autres s’indignent ?. A quoi croire encore?. Il aurait pu répondre….nous rassurant, nous persuadant, qu’il fallait vivre plus fort, espérer mieux. Son cri, sera toujours là en nous et si par hasard notre attention se détournait, il suffirait, seul, à nous maintenir les yeux grands ouverts.
Amis, à la nouvelle affligeant de la mort regrettable du militant du LKP, j’exprime mes profondes condoléances par votre entremise à la famille du défunt ainsi qu’aux militants et aux peuple guadeloupéens. Je suis convaincu qu’ils surmonterons la tristesse et remporterons le succès dans la lutte engagé pour la dignité, le progrès et l’épanouissement du peuple guadeloupéens.
Amis, à la nouvelle affligeant de la mort regrettable du militant du LKP, j’exprime mes profondes condoléances par votre entremise à la famille du défunt ainsi qu’aux militants et aux peuple guadeloupéens. Je suis convaincu qu’ils surmonterons la tristesse et remporterons le succès dans la lutte engagé pour la dignité, le progrès et l’épanouissement du peuple guadeloupéens.
Patrick Flériag