22 ans…moins d’un quart de siècle qui prouve si besoin est que la vie d’un homme vaut moins que son œuvre. Reste à savoir ce qu’on fait de cette matière. Il faut donc remercier ceux qui sont soucieux de ce riche mais fragile héritage. Il faut donc, fondok, remercier par exemple Esy Kennenga à qui on doit une fière chandelle régénératrice. En 1991, dans une euphorie sans fond…certains avaient promis un buste de Mona…soyons patients.