« Il n’est ni curable, ni adaptable. Il représente pour la société française une impasse tant pour la psychiatrie que pour la répression pénale »
c’est ainsi que les expert conclait leur rapport en 1973 sur un violeur d’enfant.
Ce sont les mêmes mots qui concluent le nouveau rapport en 2006 pour le même individu pour un nouveau viol d’enfant.
« ni curable, ni adaptable »
Ces mots font voir toutes les limites des divers sciences face à l’homme.
Cela ramène aussi à la psychiatrie en général, à l’heure du conflit de Colson en Martinique.
Beaucoup des patients de Colson y sont bien souvent depuis des dizaines années, arrivés jeunes adultes, ils n’en sortiront jamais autrement que suite à leur décès.