Depuis le 15 novembre 2016, les lecteurs de #Bondamanjak, c’est-à-dire presque tout le monde notamment en #Martinique, se posent la même question : qui est la femme qui copulait dans l’ascenseur de l’Assemblée nationale avec le député Jean-Philippe « Romanticus qui nvc » #Nilor ? Ce dernier après 4 mois de cacarelle a enfin décidé de porter plainte contre le blog privé. Sauf que cette stratégie ne tient pas la route. Il se bouge le QI simplement parce que l’opinion publique fait une fine analyse qui tourne en boucle « Si Nilor n’este pas en justice, c’est que Dégras dit la vérité ».
Aussi, à quelques mois des Législatives il sait que ça sent le sapin ou du moins le filao. Du coup, on va ajouter une brique dans le système.
Il est quand même évident que nous ne pouvons pas révéler à ce stade de la compétition le nom de la femme originaire des Antilles qui est au coeur de cette gluante affaire de cul. L’important c’est qu’un élu doit être en phase avec sa mission. Sauf s’il passe par la tentante fente qu’offre le prisme de l’urne pour se vider les burnes.
Néanmoins cette femme,pourtant mariée, mère de deux enfants a un destin étonnant.
Étonnant un peu comme une call girl qui ferait du lobbying dans un milieu politique où le phallique côtoie des queues de cerises en orbite.
Le sexe devient donc un laisser-passer incontournable, un passe partout, mieux, un couteau suisse métis qui, un peu comme une carte de parti, permet de palper les parties de ceux qui pensent avoir du pouvoir et qui donnent, pour voir et avoir un pic orgasmique.
Durant presque 6 mois nous avons observé ce personnage, lu son profil sur des réseaux sociaux professionnels, lu des articles de journaux notamment un qui la concerne et ainsi pu constater que le mensonge meuble le rêve des ambitieux bien loin de la réalité.
Jean-Philippe Nilor sait que je sais. Et je sais qu’il sait que je sais. Aussi, j’attends avec une grande impatience qu’il dépose sa plainte pour que cette affaire éclate en GRAND en entraînant d’autres dans son sillage glaire. On va se marrer. Mais tout le monde ne va pas trouver ça drôle. La balle est dans son camp. Vas-y Ti Koko c’est bon…vas-y Ti koko c’est bon bon bon.
Et comme dirait la polyglotte Marie-Line #Lesdema : « We am waiting ». A suivre.