Régulièrement la Martinique est le théâtre de drames quasi identiques: un homme n’acceptant pas la rupture d’avec sa femme, s’en prend à elle physiquement et ensuite se suicide.
Les mâles antillais seraient ils beaucoup plus faibles qu’ils ne veulent le faire croire?
Ont- ils du mal à accepter que leur compagne ne soit pas leur objet et qu’elle soit capable, aujourdhui, de leur dire bye-bye?
L’éducation reçue par nos « ti mal » dans le cadre des familles monoparentales ou matrifocales serait elle responsable?