Quand on voit Jean-Christophe Cambadélis premier secrétaire du Parti socialiste français faire campagne pour les Législatives à Paris, sur une palette rouge sur un trottoir, on se dit que l’entité politique à la rose, elle aussi écarlate, est à la rue.
Certains militants se consolent en remarquant que si c’était Sarkozy…on aurait dû ajouter trois ou quatre palette en sus. Mauvaises langues.