Et moi qui croyais que j’allais terminer l’année 2016, sans éprouver un véritable pic émotionnel musical…eh bien c’est raté.
Du coup, j’ai mille raisons de remercier MAX MONA, le fils de qui vous savez. 13 décembre décidément, ce jour est vraiment dément.
Otantik, le titre qui annonce un album qui devrait vers le deuxième trimestre 2017 est une agréable douche froide. On en attend beaucoup et la déception n’a pas doit de citer. Pire on a les sens qui explosent le compteur du sensible comme une urgente purge. . Max est un vecteur au service de nos racines. Ca frisonne, car ça sonne.
Une musique captivante vous capture et resserre les liens de l’être. Toute résistance est vaine car ça coule dans les veines. Dans nos veines.
Garry Baron, lui, fait un don incommensurable à l’imagerie. La notre. Totale maîtrise. On ne va pas se plaindre. Au fait si votre dimension lacrymale est sollicitée bien malgré vous…
sachez qu’on peut faire d’une larme la lame dont l’âme sera l’arme.
