Bondamanjak

OVNI en Martinique et en Guadeloupe (compilation)

Nous répertorions ici les observations les plus crédibles sur les objets volants non identifiés (OVNI) qui ont été vus au-dessus de la Martinique et de la Guadeloupe.
Bien entendu certains de ces témoignages peuvent s’expliquer par des phénomènes naturels connus. Certains, moins…


Martinique – Trois-ilets – 1995

Source : GREPI. Groupe de Recherche et d’Etude des Phénomènes Insolites

J’ai hésité avant d’apporter mon témoignage, mais je dois dire que je m’intéressais au phénomène ovni sans y croire vraiment.

Pourtant, un soir en Martinique, je me désaltérais avec ma femme sur le balcon d’un hôtel aux Trois-Ilets lorsque, en levant la tête, j’ai aperçu un engin triangulaire parfait dont j’ai pu distinguer jusqu’à la texture du métal.
J’ai tout de suite perçu l’anomalie de cette vision car j’ai moi-même piloté des avions et j’ai tout de suite vu que cet engin ne se comportait pas comme un avion.
D’abord, malgré l’altitude très faible, il n’émettait aucun son, aucun bruit de moteur. Il paraissait glisser sans rencontrer aucune résistance et se trouvait à peu près à deux cents mètres au-dessus de moi. Pourtant, je n’ai perçu aucun bruit aérodynamique tel que ce que l’on entend lorsqu’un planeur passe, même à une altitude supérieure. De plus, son incidence ne s’appuyait pas sur l’air comme un avion normal car sa vitesse ne lui aurait pas permis, en fonction de sa masse, de voler à cette altitude sans descendre rapidement. Or, il volait à une altitude constante. Il n’y avait aucune lumière et l’engin était uniquement éclairé par les lumières du sol.

La vision de l’engin a duré environ trois secondes, mais cette observation est pour moi une certitude absolue et si je n’ai rien dit jusqu’à ce jour, c’est que j’ai pendant longtemps cherché une explication à ce phénomène. J »ajoute que ce ne pouvait pas être un avion furtif, car celui-ci est très bruyant lorsque l’on est à deux cents mètres en plein vol.

Cette observation s’est produite il y a maintenant dix ans (témoignage reçu le 9 octobre 2005 – GREPI), mais le souvenir de l’engin est présent et très vivace en moi.

Clayde (Saône-et-Loire – France)


Un pilote au-dessus de la Martinique – 1993

Ville: Martinique
Département: Martinique (972)
Région:
Pays: France
Date: /08/1993
Heure du début de l’observation: 2h
Durée de l’observation: 5 mn

Conditions météo: Excellentes
Nombre de témoins: 1
Type de phénomène: Un phénomène insolite
Signalement officiel: non précisé

Récit complet de l’observation:
En Aout 1993, à 2h du matin environ, j’ai assisté à un phénomène pour lequel je ne trouve aucune explication rationnelle malgré mes recherches.

En plus des vols de ligne réguliers accomplis dans la journée vers Saint Martin, j’effectuais régulièrement une mission de nuit pour acheminer les journaux imprimés en Martinique et livrés en Guadeloupe avant le petit matin. Après le décollage face à l’Ouest de l’aéroport du Lamentin, en Martinique, je tournais à droite plein Nord, en montée vers mon altitude de croisière. Je passais le travers du volcan du Mont Pelé, que je devinais à ma droite dans le noir total. Tout allait bien. J’avais mis pour me distraire la fréquence de France-Inter ondes courtes et j’écoutais le jingle du journal de 8 heures, tout là-bas, en France, pays qui me paraissait d’un autre monde sous la voûte étoilée tropicale à travers laquelle je fonçais.
Seul à bord, par une nuit sans lune et vide de tout traffic aérien, avion sous pilote automatique, je m’offrais le luxe, sur ce genre de vols, d’éteindre les éclairages de mon tableau de bord pour admirer le ciel et me guider grace aux étoiles. Pour cela je m’accoudais sur la « casquette » du large tableau de bord, le nez collé au pare-brise très panoramique de mon avion, un C208 pour la circonstance. C’était un moment délicieux et privilégié que peu de pilotes peuvent vivre en solitaire depuis l’époque de Mermoz.
Je passais 2000 mètres en montée, dans une forme de « rêverie vigilante » sous la voie lactée, lorsque mes yeux furent attirés par une tâche rouge très sombre, juste en face de moi, à 60° de l’azimut, soit environ deux tiers de la hauteur du ciel entre l’horizon et le nadir. Cette tâche avait la taille des lunes rousses que l’on peut voir déborder de l’horizon, c’est à dire une tâche conséquente dans le ciel. Elle était en train de devenir lentement de plus en plus lumineuse. Ebahi, j’observais le phénomène. De rouge sombre, elle est passé progressivement à la lumière très vive d’une pleine lune. J’avais devant moi une pleine lune alors que deux minutes avant il n’y avait rien ! Voilà qui était un peu fort ! Je sautais sur le micro. En effet j’avais un collègue qui était, lui, en train de décoller derrière moi pour la même mission, et je l’invitai à regarder dans la direction que je lui indiquais. Hélas, lui aussi seul à bord, fort occupé par son décollage délicat (tous nos décollage de nuit en forte charge de Fort de France étaient délicats et nécessitaient une forte concentration), entendant mon appel, n’a pu regarder dans la direction que je lui indiquais car la largeur de la carlingue lui occultait le champ de vision.
Durant plusieurs minutes, je suppose peut-être deux, trois ou quatre, je scanais dans ma tête toutes les hypothèses possibles, mais je ne trouvais rien. Le ciel était pur, aucun nuage ne pouvait avoir dissimulé un astre, et celui-ci sortait de nulle part. Un objet rentrant dans l’atmosphère ? Un OVNI ? Je ne trouvais pas d’explication rationnelle et du coup, mon trouble était fort, voire mon anxiété. Car aussitôt je me posais la question de savoir si cela représentait un danger de collision. L’objet fonçait-il vers moi ?
Et voilà que, de la même façon qu’il était apparut, il s’estompa progressivement, vira au rouge sombre et finalement disparut comme s’il n’avait jamais existé !
Pendant plusieurs jours je n’arrêtais pas d’y penser. Je lus des documentations (il n’y avait pas internet), questionnais des collègues, des météorologues, des « endogènes » (pour ne pas dire des « indigènes » bien que cela soit le vrai terme pour signifier des gens du terroir). Rien. Finalement, je tombais en arrêt sur un entrefilet de la revue « Sciences et Avenir », indiquant le passage au mois d’Août d’un nuage d’astéroïdes, phénomène classique se traduisant par une pluie d’étoiles filantes. Voilà. J’en déduis que cela devait être ça, et que cet objet devait être plus gros que les autres et que sa trajectoire lui avait fait tangenter la stratosphère sur laquelle il aurait ricoché avant de repartir dans l’espace. Point final. Beau, magnifique même, mais sans plus d’intérêt.
Ce n’est que récemment, à l’occasion d’une conférence sur les risques de collision avec des astéroïdes organisée par un astronome de l’observatoire du Nice, que je relatais cette expérience. En effet, entre temps et grâce à internet, j’avais vu sur youtube ou dailymotion plusieurs films sur la pénétration d’astéroïdes dans l’atmosphère, et rien ne corroborais ce que j’avais vu. Les vitesses phénoménales de rentrée dans l’atmosphère (de l’ordre de 40000 km/h en moyenne) ne pouvaient pas représenter de modèle à ce que j’avais vu (élément statique, fixe dans le ciel jusqu’à sa disparition). J’en fis part à l’astronome qui en convint et me confirma qu’il était impossible que ce fut un astéroïde ricochant sur l’atmosphère terrestre, compte tenu de son aspect statique. Car quand bien même il arriverait de face, alors il ne disparaitrait pas de la même façon qu’il est arrivé, et s’il ricochait, alors il y aurait une trajectoire extrêmement tendue et ne serait pas resté dans le même coin du ciel mais aurait balayé tout l’horizon.

J’en suis là de mes expectatives, et je dois dire que si je fais part de ce phénomène, je ne suis pas sûr que ça intéresse l’ufologie (peut-être l’astronomie ?), je n’attends plus de résolution aux questions que je me pose encore. Le mystère semble rester opaque. J’ai tout de même émis l’hypothèse que ce fut l’explosion d’une étoile, mais alors le phénomène aurait duré plus longtemps, je suppose, et il figurerait dans les anales quelque part (je sais que la chose est déjà arrivée). En tout cas j’espère toujours en savoir plus sur le sujet. Qui sait, peut-être un jour ?
Je précise que j’ai fait des recherches grâces aux logiciels suggérés par le site, fait aussi des recherches sur internet, mais rien n’apparait. Les dates possibles d’après mon carnet de vol : le 11, le 12, le 27, et le 31 aout 1993. Ce sont en effet les seules dates pendant lesquelles j’ai utilisé le type d’avion en question.

Description précise: forme sphérique, d’abord rouge très sombre, puis virant au blanc incandescent avec de redevenir rouge et disparaître.
Couleur: De rouge sombre à incandescent puis rouge sombre et disparition (Comme si on plongeait un métal dans un bain en fusion et qu’on le laisse refroidir ensuite)
Taille du phénomène: lune rousse
Comportement: statique, à 50 ou 60° de hauteur dans le ciel, dans le Nord.
Trajectoire: Nord 55° – Nord 55°
Bruit spécifique: non précisé Impossible à savoir
Odeur spécifique: non précisé
Direction de l’objet en fonction du vent: non précisé
Présence d’installations: Aéroport Aéroport du Lamentin, Martinique
Photo semblable: non précisé
Tableau: non précisé
Source: http://www.forum-ovni-ufologie.com/t17320-1993-le-08-a-2h-un-phenomene-insolite-martinique-martinique-972#ixzz4KdR6GHTX


Martinique – Grosse lumière blanche semblable aux grosses étoiles – 2011

Date : 17-02-2011
Département : 972 (Martinique)
Localisation : LAMENTIN
Heure : 18h24
Nombres de témoins : 3 personnes
Type d’observation : NL : Lumières Nocturnes
Durée approximatif de l’observation : 5 minutes
Ce qui a été vu : Grosse lumière blanche semblable aux grosses étoiles
Description des faits :
Sortant de la voiture nous admirons la pleine lune puis tournant la tête nous observons « comme un déplacement d’une étoile ».
Le ciel est très dégagé, à peine une ou deux masses nuageuses très distantes la vue est magnifique.

La lumière est toute blanche elle se déplace très vite et assez haut dans le ciel ; elle nous passe au dessus de la tête, change de trajectoire une fois puis une deuxième et file vers la masse nuageuse. Nous avons attendus en vain qu’elle ressorte.

Je précise que j’habite en hauteur par rapport à l’aéroport du Lamantin et des avions j’en voie tous les jours les gros porteurs passent en fin de journée non loin de chez moi et là RIEN A VOIR, aucune autre lumière que du blanc très brillant et surtout la taille de cette lumière, sa vitesse tout simplement INCROYABLE et les changements de trajectoire aussi soudains.
Ce que nous avons vu n’est pas un avion, ni une étoile filante ça c’est sur !

Nous espérons que d’autres que nous aurons vu quelque chose et en témoignerons.
vero972

source : http://www.ovni-france.fr/index.php?ou=temoignages_vu&id_tem=134&id=16


Guadeloupe – Lumières Nocturnes

Date : 02-02-2013
Département : 971 (Guadeloupe)
Localisation : Les abymes
Heure : 19h
Nombres de témoins : 1 personnes
Type d’observation : NL : Lumières Nocturnes
Durée approximatif de l’observation : 3 minutes
Ce qui a été vu : OVNI
Description des faits :
J’étais en appel téléphonique devant ma maison en observant les étoiles qui sont très visibles car peu de lumières extérieures dans le quartier. L’une d’entre elle était assez lumineuse par rapport au autre un peu à la manière de l’étoile du bergers. Mon regard était donc souvent posée sur celle là en particulier sans rien remarquer de spécial hormis une étoile qui brille assez fortement. Mais à un moment j’ai eut l’impression que celle-ci se déplaçait. S’était presque imperceptible au départ pendant environ 1 à 2mins au plus. Ensuite je réalise qu’elle prends de plus en plus de vitesse. Son déplacement devient évident. L’étoile se déplace en ligne droite en accélération constante et se met à disparaitre en une dizaine de secondes alors que son déplacement devenu complétement évident pouvait faire penser à un satellite. Dans le ciel, cette étoile, après être resté fixe immobile pendant un plusieurs minutes, s’est donc mis à se déplacer en accélération et disparaitre sur une 15aine de centimétrique dans le ciel depuis mon point de vue en prenant une mesure approximative le bras tendu. Rien de bouleversant mais tout de même très étrange à observer. J’ai déjà vu des satellites, des étoiles filantes des avions de tourisme, des hélicos ou des avions de ligne faciles à identifier avec leur feux clignotants, mais là je comprends toujours pas ce que j’ai observé.
stoon


Sous mariniers de la Marine Nationale Française – Fort-de-France – 1965

Je vous propose ci-dessous, un cas d’observation d’OVNI assez peu répertorié sur les sites ufologiques. Ce cas a été signalé par J. Vallée dans son ouvrage « Confrontations », et a ceci de particulier que ses nombreux témoins font tous partie de la Marine Nationale française et à ce titre, ne peuvent être taxés de mensonges ou d’exagérations… Et pan dans la tête des sceptiques…

Le 1er juillet 1965, deux sous-marins français, la Junon et la Daphné escortés par un navire de surface, le Rhône, quittèrent la base navale de Toulon en Méditerranée et mirent le cap sur Gibraltar. Après une escale aux Açores puis à Norfolk en Virginie, ils participèrent à une série d’opération avec la marine Américaine engagée dans la récupération d’une capsule spatiale Gemini près des Bermudes ; les sous-marins français escortaient le porte-avions Wasp.
Ces vaisseaux traversèrent le cyclone Betzy dont ils évitèrent les effets en plongeant à trois cents mètres. A leur retour vers la France, ils s’arrêtèrent dix jours à Pointe-à -Pitre, à la Guadeloupe, et une journée à Saintes avant d’atteindre l’île de la Martinique où ils jetèrent l’ancre fin septembre 1965.

Ce fut pendant leur séjour à Fort-de-France, alors que la nuit était tombée et que le temps était clair, qu’un engin de grande taille arriva lentement et silencieusement de l’ouest et se dirigea vers le sud, fit deux boucles dans le ciel au-dessus des vaisseaux français et disparut aussi rapidement que la lumière d’une ampoule qui s’éteint.

Le témoin qui raconta l’histoire, Michel Figuet, était à l’époque le premier timonier de la flotte française de Méditerranée. De sa position sur le pont de la Junon, il observa l’arrivée de l’objet, puis sa disparition.

Il eut le temps de monter au poste de commandement, de s’emparer de six paires de jumelles et de les distribuer à ses camarades. Il n’y eut pas moins de rois cens témoins y compris quatre officiers de la Junon, trois officiers de la Daphné, une douzaine de marins français et le personnel de la station météorologique locale.

Tous les témoins à bord de la Junon, dont l’avant pointait vers l’est, décrivirent l’objet comme une grosse boule de lumière, ou comme un disque vu de profil, arrivant de l’ouest à 21h 15.Il était de la couleur d’un tube fluorescent et avait à peu près la même luminosité que la pleine lune. Il se déplaçait lentement, horizontalement, à une distance estimée à dix kilomètres au sud des bateaux, de l’ouest vers l’est. Il laissait une trace blanchâtre semblable à la lueur d’un écran de télévision.

Lorsqu’il fut directement au sud des navires, l’objet descendit vers la terre, fit un, deux et trois tours complets puis resta suspendu dans la brume d’un léger halo.

M. Figuet rapporte qu’il observa la fin de la trajectoire avec des jumelles et qu’il put voir deux taches rouges sous le disque. Très rapidement, l’objet disparut au centre de son halo lumineux « comme une ampoule qu’on éteint ». La traînée et le halo restèrent visibles dans le ciel pendent une minute encore.

A 21h 45, le halo reparut au même endroit et l’objet sembla émerger du fond du ciel comme une lampe qu’on allume. Il s’éleva, fit encore deux cercles et s’envola vers l’ouest où il disparut à 21h 50.

Le jour suivant, M. Figuet compara ses notes avec un ingénieur des communications qui avait observé le même objet depuis un fort de la marine. Ensemble, ils contactèrent la station météorologique à Fort-de6france. La personne qui répondit au téléphone avait elle aussi observé le phénomène, et confirma qu’il ne s’agissait ni d’un avion, ni d’une fusée, ni d’un météore, ni d’un ballon, ni des débris d’un satellite se désintégrant, ni d’un effet de plasma tel qu’un éclair globulaire.

Il est difficile d’affirmer froidement qu’une telle observation ne s’est pas produite, ou qu’elle fut le simple résultat d’une hallucination. Les témoins étaient des observateurs compétents dispersés sur une large région. Ils étaient entraînés à la surveillance de nuit (M. Figuet était particulièrement noté pour ses qualités d’observateurs) et l’incident dura assez longtemps pour que le témoin puisse se rendre au poste de commande, s’emparer de jumelles et les distribuer aux autres officiers.

Si l’on admet qu’il y avait bel et bien un objet dans le ciel comme les faits semblent l’indiquer, alors les enquêteurs scientifiques se trouvent devant un nouveau défi. Plus spécifiquement, si l’objet était distant de dix kilomètres comme l’estiment les témoins, il représentait un disque de quatre-vingt-dix mètres de diamètre, un engin formidable en vérité, étant donné les manœuvres remarquables qu’il exhiba. La séquence toute entière suggère contrôle et intention.

Ajoutons qu’il est possible de calculer l’énergie lumineuse totale émise par l’objet en se basant sur la distance et la luminosité évaluées par les témoins. On trouve deux, trois mégawatts.

Il est utile de comparer ce chiffre au niveau d’énergie de quelques objets familiers à titre de référence. Alors que l’énergie d’une tondeuse à gazon est d’environ trois kilowatts et que celle d’une voiture tourne entre soixante-quinze et mille kilowatts (ou un mégawatt au maximum), un avion de ligne atteint cinquante à cent mégawatts, et l’énergie d’une centrale nucléaire se mesure en milliers de mégawatts.

Notons toutefois que dans ce calcul, nous avons déduit des rapports le niveau d’énergie lumineuse émise par l’objet dans la partie visible du spectre, la seule observable par les témoins. Or le phénomène peut aussi déployer de l’énergie d’autres façons, en micro-ondes ou en ondes radio par exemple. Si l’objet à une structure matérielle physique, il aura besoin d’énergie pour contrebalancer la gravité, même s’il utilise des techniques de propulsion très avancées sur lesquelles on ne peut pas spéculer. Pour ces raisons, les chiffres que nous avançons doivent être considérés comme très grossiers.

source : https://veritas-europe.com/ovni-un-cas-inattaquable/


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