Pour France-Antilles Martinique, « kok-djenm » se traduit par « poulet de ferme ». Et puis, où ça qu’il y a bois, extraire, faire cuire, … dans le texte en langue créole ?
Bon maten nou desann fouyé yanm pou nou manjé épi poul djenm, nou ka tonbé anlè sa… » (*).
* « Ce matin on est allé dans les bois pour extraire quelques ignames et les faire cuire à midi avec du poulet de ferme, et on tombe sur ça… »
Au secours ! Anmwé ! Man ka mò ! Tet-Boskaf tu ne peux pas faire quelque chose ? Le créole est bien ta langue officielle. Tu ne peux pas mettre une titre subvention en place pour des cours de créole ? Je sais qu’il y en a mais ils ne sont pas subventionnés.
Mais, quand même, quand même, est-ce que, en 2024, l’unique journal papier de Martinique peut autant insulter les martiniquais créolophones (il en reste) en écrivant ça ?
Devant un tel mépris, il y a vraiment des ziginot qui se perdent !
Au secours, Rudy, reviens !
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