« Ainsi va la vie dans les départements et territoires d’outre-mer : les DOM-TOM sont loin de la métropole, ils sont extrêmement coûteux et ne produisent pratiquement rien d’utile. Leur seul rôle est de faire briller encore la gloire de la République française« , écrit-elle avant de qualifier l’Outre-mer français de « fantaisie » qui coûte cher, où le chômage atteint des records. « Mais pourquoi travailler quand on est complètement assisté ?« , s’interroge-t-elle.
Et quand Rosie Millard se met à comparer la situation française à celle de la Grande-Bretagne, cela donne ça : « Quand le Commonwealth se rebiffe, on organise une conférence ; quand les DOM-TOM se rebiffent, l’Elysée envoie les gendarmes. »
La journaliste évoque les avantages à résider dans les DOM-TOM en faisant référence aux avantages salariaux ou encore aux billets d’avion gratuits pour les étudiants ultramarins.
Et de conclure, « La Réunion est la dernière étape de notre voyage. C’est certainement le plus beau de tous les DOM-TOM. Après 13 semaines dans cet univers parallèle français, on s’habitue à une forme d’illogisme forcené. Si bien que je ne suis guère étonnée de voir un panneau disant que Hell-Bourg, dans l’océan Indien, a été classé Plus beau village de France« …
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