Depuis 72 heures, la #Martinique l’île qui se prend pour un pays et où on confond pistache et cacahuète a HONTE. Sur les réseaux sociaux, dans les cases et dans la tête de ceux et celles à qui il manque au moins une case on ne parle que de ça.
De ces deux femmes qui ont demandé gentiment à Manuel Valls de baisser le prix du whisky dans ce département français.
Eh oui nous sommes en plein dans la fable « les animaux malades de la peste ». Ces deux femmes sont NOUS . Ce « nous » qu’on refuse et qui aujourd’hui ainsi révélé nous dérange à plus d’un titre. NOUS qui sommes actuellement dans une errance sans précédent.
Se mettre à « nue » comme ça devant un Ministre, un blanc et en sus devant des médias. Oh mon Dieuuuuu …la sainte vierge Marie. L’imagerie est affectée….la loi du paraître sonne l’alarme. Seigneur Jésus…que vont-ils penser de nous en…France ? Du coup, ces femmes ne sont plus dignes. Elles ont failli. Tout le monde, cette population qui n’est point peuple crie haro sur ces sombres baudets. Aussi, elles ont droit aux crachats, aux mollards les plus visqueux en un mot, au mépris sans prix autant que gratuit.
Car la Martinique a…HONTE. Honte d’elle même. Honte. Honte à elles. Il faut lyncher et battre à mort ces…bip…qui ont manqué à l’évidence de… savoir-vivre. Manqué d’une gouvernance honorable.
Au fait, dans une démocratie, on a le droit et la liberté de se soucier du prix du whisky ? Oui? Non? Moi…ok…je ne suis pas trop whisky…mais j’aimerai bien que Manuel Valls œuvre pour faire baisser le prix du jus de maracudja…eh oui…elles c’est le whisky…moi c’est le maracudja. À chacun le fruit de sa passion.