« Prenez et buvez ceci est mon chlore ». Eh oui, la #Martinique, se révèle à ceux qui font barrage à la vérité.
A l’heure où on parle de « Zéro chlordécone », la réalité est plus grave qu’on veut nous le faire croire. Et puisqu’on nous prend pour des cons nourris au concombre, prenons le cas du barrage de la Manzo. Oui, ensemble, dans la charité du Christ, faisons cela…mais que si vous avez l’âme d’une femme qui perd les eaux.
Le barrage de la Manzo, s’étend sur le territoire de trois communes, Ducos, François et le St-Esprit.
Cette retenue peut contenir 8,5 millions de mètres cubes. Cette eau qui provient essentiellement de la la rivière Lézarde n’est pas traitée et n’est donc pas potable.
En période de Carême le précieux liquide rejoint ensuite le sud-est de l’île par des canalisations, permettant aux agriculteurs d’arroser leurs cultures.
Le « périmètre irrigué du sud-est » représente 4 950 hectares de terres agricoles sur les communes du Robert, de Ducos, du François, du Saint-Esprit, du Vauclin, du Marin et de Sainte-Anne.
Je sens que vous voyez déjà où je veux en venir. L’eau de ce barrage est-elle polluée ? « Vous pouvez répéter la question ? » Oui car c’est une bonne question même si ça donne froid dans le dos et même ailleurs.
Selon nos sources, cette eau serait tellement polluée que les autorités « compétentes » seraient obligées d’y…on n’ose pas le croire. Non pas ça, oh mon Dieu, oh, my God, oh Djee Zeus, oh Jésus, oh Marie si tu savais tout le mal que l’on m’a fait… d’y ajouter de l’eau de pluie via une retenue collinnaire dans la carrière Blanchard pour diluer et faire descendre le taux de pesticides. Non ce n’est pas possible. Ce n’est pas peau cible. Bondié, saint niais, ou pisé anlè nou ? Pourtant aux abords de cette étendue d’eau, on naît là, on est là, on cultive, on plante, on récolte, on pêche. On capture des crabes. Oui. On vit. Notamment avec le #chlordécone. sans le savoir vraiment. La zone empoisonne ses proies.
-Tu déconnes ?
-Non Chloé. Pas vraiment.
Du coup, la cartographie des terres polluées présentée par les autorités installe un scepticisme empreint de développement durable. On nous ment et cela ne peut être autrement. La rivière des cacaos qui traverse le bourg du Saint-Esprit rejoint la Rivière-Salée.
Je sens que vous voyez déjà où je veux en venir.
Pour l’heure, au coeur du « Mi bab »…je vous en prie…prions. A suivre.