« Justifier cette nouvelle augmentation par les croissances de la demande du Brésil, de la Chine ou encore la politique fiscale russe parait « fumeux » et n’est absolument pas convaincant. De plus la comparaison des prix des carburants avec ceux pratiqués dans l’Hexagone n’est pas pertinente, car toujours basée sur les prix les plus élevés.
Le président de Région constate à nouveau que le système de fixation des prix mis en œuvre depuis novembre 2010 n’a toujours pas fait les preuves de son efficacité et demeure toujours aussi opaque. Le dossier des carburants est un chantier à reprendre totalement.