Cette phrase, prononcée en 1991, par le comédien martiniquais Alex Descas, hante ma tête comme une ente lente depuis plus de 16 ans. Un greffon qui ne peut se contenter de solutions hybrides. Aujourd'hui , je sens venir la mue qui tente les uns et accule les autres. Les langues se délient sans délit. Les nons dits sont en quête de portes-paroles, héros vecteurs oraux de cris et d'écrits.