Bondamanjak

« Il faut que je demande à mon mari « 

A l’orée des régionales de 2010 en Martinique, les listes se multiplient. Mais les partis politiques tombent sur un os, la parité. Sur ces fameuses listes, il y a 43 noms et il faut 21 ou 22 femmes. Et c’est là que le bas blesse. Une blessure qui met en évidence le manque de femmes dans l’engagement politique. Pourtant, parité oblige, elles sont sollicitées mais souvent elles lâchent un « Il faut que je demande à mon mari » une phrase étonnante qui glacerait le sang de plus d’une féministe…quoi que…