un lecteur nous a adressé ceci:
Suite à la publication d’une video d’un morceau de ragtime « tickled to death » de Charles Hunter, ressemblant étrangement à Sèpan mèg de Stellio, Tony Chasseur était monté au créneau, sur le site de Makrélaj
« Doù vient cette enregistrement…qui a effectué cet enregistrement piano au son très moderne………Je doute que ce Mr Hunter (tiens « Chasseur » en français) ait légué une partition détaillée de sa création à son époque (1876, avant la création de la Sacem)…..attention à la désinformation…….il faut être vraiment d’une faiblesse intellectuelle pour aller mettre en doute les créations de nos créateurs quand on voit comment ces américains n’hésitent pas à s’attribuer la paternité d’oeuvre….exemples: My way, Comme d’habitude… à moins d’une preuve ( une partition authentifiée et enregistrée à la sacem)… »
signé Tony Chasseur
Extrait du livret de cet album de ragtime
A Ragtime Primer
(Pianomania Music Publishing, Roseville, CA, 1995 )
Tickled To Death (By Charles Hunter, Pianist David Thomas Roberts). While Turpin was playing his urban style of ragtime in St. Louis, Charles Hunter was developing a rural counterpart in Nashville, Tennessee. In contrast to the fast, showy Turpin style (in tune with the hectic atmosphere of his St. Louis ragtime mecca, The Rosebud Bar), Hunter’s « original » Nashville sound was more bucolic, with a more lyrical emphasis and a syncopated country march flavor, a truly « southern fried » ragtime concoction. Tickled To Death became a most popular early rag along with Maple Leaf and Bowery Buck, and the composer’s greatest success. It was originally published in 1899 by Frank G. Fite in Nashville and later sold to the Charles K. Harris catalog in New York. Hunter worked for the Jesse French Piano Company in Nashville as a tuner, was transferred to St. Louis, fell into the thoughtless sporting life and was dead by January, 1906. This trip down the primrose path was chosen by many of the itinerant pioneers, including the most legendary of all St. Louis pianists, Louis Chauvin, « The Black Paderewski » and « King of Ragtime Players. » The tune achieves a country hoe-down flavor Que Stelio se soit inspiré de Hunter montre plutot qu’il avait de la culture.
Concernant » My Way », il n’y a jamais eu de vol, car Paul Anka avait acheté les droits de cette chanson écrite par Jacques Revaux pour la musique et Claude François pour les paroles, à son passage à Paris dès la sortie de la version initiale.
Quand Sinatra l’a chanté, le Cloclo national, qui était lui un spécialiste des reprises de chansons noires américaines était très fier, d’ailleurs, il n’y a pas eu à ma connaissance un quelconque procès à ce propos.
Et dire que tout le monde pensait que Tony Chasseur était un clone, une copie quoi, de « Michel Fils de Jack »