L’affaire Lise/Cesaire/Atrium occupe les devants de la scène en Martinique…Chacun y va de son pamphlet…Ca sent fort l’Hamlet aux champignons sur rue…
Vendredi 07 mai 2010 sur RFO Radio Martinique, juste avant POLITIX qui recevait Marcellin NADEAU, Président de la Commission culture au Conseil Général et président d’exploitation de l’ATRIUM, Claude LISE Président du Conseil Général intervenait pour protester de sa bonne foi dans ce qu’il faut appeler l’affaire de l’ATRIUM .
Les rumeurs qui courent dans les diners en ville, dans les soirées, sur internet à propos de son interventionnisme par trop excessif dans les petites « affaires » du CMAC ATRIUM, ont provoqué une colère du Conseil Général. « Petites affaires » car les dites interventions jugées exessives par une partie du personnel ne portait pas sur la programmation ni sur l’ordre de mission de Manuel Césaire mais sur les conflits inévitables qui naissent des relations de travail. Après Alfred Marie-Jeanne, Claude LISE? La fonction de Président d’une collectivité locale en Martinique prédispose-t-elle à de tels excès?
Claude LISE a expliqué que sa fille ne pouvait (Diplômes? Formation?) prétendre aux plus hautes fonctions à la tête de la structure culturelle parce que l’État français avait son mot à dire et que les candidats devaient remplir certaines conditions, en ce qui concerne le CMAC. L’ATRIUM ne relève lui que du Conseil Général. Il n’était pas en son pouvoir ni en ses intentions de passer outre ces règles administratives. Il précise qu’il avait soutenu la candidature de Manuel Césaire dans la phase finale de la sélection qui ne retenait que trois candidats. Son soutien était tel, dit -il qu’il est allé jusqu’à demander au Ministère le la Culture une dérogation pour son candidat qui ne remplissait pas toutes les conditions exigées. Dérogation aussitôt accordée. Claude LISE explique donc qu’il n’est pas en son pouvoir de faire pour sa fille ce qu’il a pu faire pour Manuel Césaire. Totalement illogique! C’est ce qu’on appelle se prendre les pieds dans le tapis. Allez comprendre…
Roland Sabra 07/05/10