72 heures avant le premier tour des Législatives 2017 en #Martinique, face à l’enfumage actuel, nous sommes dans l’obligation d’ouvrir les yeux des Martiniquais déjà affectés par la brume des sables ?
Depuis plusieurs mois, Alfred Marie-Jeanne conscient qu’il est encerclé par les francs-maçons au sein de la CTM tente de résister en usant de son instinct de conservation.
Mais la bête est puissante.
Le président du Conseil Exécutif refuse d’être instrumentalisé par l’élu de ces gens : Jean-Philippe #Nilor.
Il refuse ainsi de s’afficher avec celui qui la trahi notamment avec le tortueux complot du #G20.
Maintes fois, il a tout fait pour ne pas être le bwa bwa au carnaval de ces gens. Il a refusé d’aller au meeting de Petit-bourg, préférant un match de basket à…Rivière-Salée à 2,5 km de là.
Mais la pression est forte. Marie-Jeanne ne lutte pas contre une personne. La pression est plurielle.
Il est un symbole trop fort, un charisme trop influent pour être encore au pouvoir. Sa victoire de décembre 2015 est la victoire de trop. Et son destin est affreusement lié à un homme. Claude Gelbras.
C’est cet individu qui est à l’origine de l’affaire Green Parrot et qui a confié le volatile au Canard Enchainé pour un article qui le fera chuter aux Régionales de 2010. 7 ans plus tard, les deux destins ont rendez-vous.
Gelbras est le conseiller de Philippe Edmond-Mariette qui veut être candidat dans la circonscription du centre et qui envisage de prendre sa carte au Mouvement Indépendantiste Martiniquais (MIM). Pourquoi ? Bonne question.Cette candidature fait le bonheur des partisans frondeurs de Nilor qui le soutiennent. Pourquoi ? Bonne question. Alfred Marie-Jeanne connaît la réponse.
Mais le lien entre ces trois prend une dimension étonnante quand on découvre la connexion entre Nilor et Gelbras. Oui Nilor est en relation avec celui qui qui a voulu détruire la carrière politique d’Alfred Marie-Jeanne son père en politique. Pire il aurait pris un proche de celui-ci en stage à l’Assemblée nationale française.
Voilà ce que celui qui se définit comme un homme d’affaires adresse au député du sud en janvier 2015.
Le texte est limpide. Les intentions malveillantes sont claires.
Alfred Marie-Jeanne est au courant de toute cette machination. Il tente de résister.
Récemment au Lamentin, lors d’un meeting de Fabrice Dunon, il a encore un souffle de guerrier. Il traite Philippe Edmond-Mariette de revenant intéressé sans le nommer. Il confirme qu’il n’ira pas dans le sud.
Pourtant c’est dans le sud, au Saint-Esprit lors de la fête patronale que la pression maçonnique atteint son sommet.
Il devient une docile proie photographique. C’est pire qu’un viol iconographique. Est-il sénile comme le déclare une certaine Nicole Ozier-Lafontaine une psychologue qui intervient lors d’une prise de parole au quartier les côteaux à Sainte-Luce ? Une déclaration que Nilor approuve dans un silence bavard.
Cette campagne des Législatives 2017, l’air de rien, marque un tournant dans la vie politique martiniquaise. Paradoxalement le MIM risque de perdre son poids électoral. Une peur s’installe et motive les autres peurs.
La lecture de ce post alimente la machine à faire peur. « Si Nilor perd ça va réveiller l’affaire Green Parrot ».
Oh mon Dieu, oh my God, oh Djee Zeus, oh ma Diana. Il faut donc sauver Nilor alias Brutus le traître, pour sauver Marie-Jeanne le père trahi. Et la Martinique dans tout ça…on pense à elle ? Bonne question. La réponse…vous la vivez. Sans commentaire mais comment taire ?
gilles dégras