Souvent on parle de silence complice surtout quand face au vit dur d’une ordure le con plisse.
Alors quoi penser, au coeur de la campagne #balancetonporc et #metoo, de celui, bavard, bi-valve autant que bi-vulve qu’offre la paire Pascale Lavenaire et Jean-Marc Pulvar à RCI #Martinique ? Même Marlène Schiappa reste bouche béante face à une question aussi turlupinante. Le monde dans lequel nos vits vont et vivotent est plus que jamais en mode By Low Law.
Voilà ce que publie Guadeloupe La 1ere le 19 juin 2018 :
« Les juges de la chambre sociale de cour d’appel de Basse-Terre ont confirmé le jugement prononcé il y a deux ans par le Conseil des Prud’hommes de Pointe-à-Pitre.
Harcèlement y compris à l’antenne
Harcèlement sexuel et harcèlement moral… C’est ce que dénonce depuis plusieurs années, Ingrid Sénat, journaliste à RCI.
Dénonciation faite au départ auprès de sa direction… Des propos explicites, des textos tout aussi chargés en connotations sexuelles, des insinuations choquantes, y compris à l’antenne, mais aussi des menaces proférées par plusieurs responsables de la rédaction, en l’occurence, Warren #Chingan et Thierry #Fundéré.
La victime sanctionnée par sa hiérarchie
Menaces et propos couverts par le directeur, Daniel #Marival. Pire, bien qu’étant la victime, c’est elle, qui a écopé d’un avertissement pour son manque de respect de la hiérarchie. Ses harceleurs, eux, n’ont jamais été inquiétés, ni même sermonnés.
Forte de plusieurs témoignages internes, Ingrid Sénat avait donc saisi le conseil des Prud’Hommes de Pointe-à-Pitre. Lequel, en mai 2016, a condamné RCI a lui verser 40 000 euros de dommages et intérêts et 2 500 euros pour les frais de justice. La cour d’Appel de Basse-Terre a donc confirmé ce jugement et même rajouté 2 000 euros supplémentaires.
Chez France-Antilles Guadeloupe, l’article est payant.
La boite de Pandore sur le harcèlement et autre agression sexuelle s’ouvre ENFIN dans les îles soeurs. Sauf que la parole ne se libère pas pour tout le monde. En Martinique, sur RCI Martinique, pas un MOT sur cette grave affaire
Pascale Lavenaire et Jean-Marc Pulvar perdent le verbe, la parole et ça nous laisse sans voix. NON PASCALE…PAS TOI ?
Pascale qui est rédactrice en chef devient bien malgré elle, à cause de son silence bavard, COMPLICE de ces hommes qui baisent, harcèlent, agressent des femmes comme elle. Car Pascale sait ce qui se passe dans la chaude basse-cour radiopho-nique locale. Elle n’est pas presbyte. Elle connaît les données du kikokki.Pascale non pas toi. Toi qui reçois Monseigneur David Macaire. Oh seigneur Satan l’habite ? J’ai les boules.
Je suis anéanti, déçu, ravagé, dévasté, bouleversé, tétanisé, sodomisé, enculé. Ma vie ne tient plus qu’à un vit. Pas kal an bonda mwen.
Non Pascale pas toi. Oh mon Dieu, oh my God mi chè, oh ma Dian, oh Djee Zeus,oh Jean-Marc, oh Pul, oh vert, oh marie, …si tu savais…