Suite à l’intervention ce samedi 27 juin 2015 sur Radio #Martinique Première d’un certain Romain Cruse …pas plus universitaire qu’une valise de bokits farcis, la présidente de l’Université des Antilles réagit.
Communiqué de presse de la présidente de l’université des Antilles Corinne Mencé-Caster
Des personnes s’expriment sur les médias, en qualité d’universitaires au nom de l’Université des #Antilles, alors qu’elles ne sont pas des personnels de l’université des Antilles, pas plus qu’elles ne le sont d’autres universités.
Rattachées comme membres associés au laboratoire #CEREGMIA, nombre de ces personnes ont inondé la communauté universitaire de mails injurieux et diffamatoires à l’encontre de la présidence actuelle, dès lors que cette dernière a entrepris les procédures disciplinaires et judiciaires en cours.
La présidente de l’université est consternée par la répétition de ces propos diffamatoires qui sont tenus lors des interventions de ces personnes, qui n’ont aucune qualité ni compétence pour formuler ce qui n’est qu’opinion partisane, justifiée par leur étroite association avec le CEREGMIA. Ces jugements vont à l’encontre de tout ce qui est dit dans les rapports d’experts officiels.
Toutes les procédures engagées l’ont été sur la base initiale du Rapport de la Cour des Comptes et de l’enquête préliminaire initiée par le Procureur de la Cour des Comptes auprès du Procureur de la république, et sur le fondement d’autres rapports d’institutions expertes.
Aucun rapport produit sur l’UAG ne met en cause lesFacultés de l’université. Les défaillances constatées entre 2005 et 2009 sur la gestion des heures complémentaires ont été réglées sous la mandature de Pascal Saffache. L’actuelle présidente de l’université a été doyen de la Faculté des Lettres à compter d’avril 2009. Sa gestion ne saurait donc être mise en cause dans ce rapport de la Cour des Comptes, pas plus que celle de l’actuel doyen, élu en 2013.
Il est regrettable que des personnes impliquées dans le dossier à divers titres se répandent sur les médias pour cautionner la gestion désastreuse du CEREGMIA par son ex-directeur, lequel vient d’être sanctionné à ce titre par la commission de jugement de Toulouse.
Ces mêmes personnes ne parlent jamais des rapports officiels produits et les escamotent, passent sous silence les au moins 8 millions d’euros que l’université doit rembourser et essaient de faire passer l’idée d’un conflit personnel, là où il y a une démarche de bonne gestion de l’université.
Le 27 juin 2015
* Le titre est de la rédaction de Bondamanjak