Quatre mois après les festivités culturelles accompagnant l’arrivée de la Route du Rhum en Guadeloupe, les musiciens de l’archipel qui ont oeuvré n’ont pas reçu un centime d’euro de cachet. Pour ne rien vous cacher, ils n’ont même pas eu un aspirine. Pourtant les maux de tête perdurent car les responsables sont au coeur d’une superbe et inlassable partie de volley-ball à mille passes pour savoir qui doit régler la facture. Pour l’heure, ces musiciens chantent un blues empreint de moult kounya manman zot.