Nicolas Sarkozy a répondu mercredi au messager pour la paix de l’ONU Alpha Blondy, qui qualifiait son projet d’immigration choisie d' »apartheid migratoire (renvoyant) au temps des esclaves », en mettant en garde contre « des rapprochements qui n’ont aucun sens »
Cette réforme « permettra de faire venir dans des conditions optimales les personnalités de tout niveau, dont la présence sera un atout pour la France, à
la condition absolue que ce recours n’ait aucun impact négatif pour le
développement des pays d’origine », assure M. Sarkozy.
A cet égard, le ministre de l’Intérieur a « l’intention de placer au coeur de
(son) action une grande politique de co-développement (…) qui permettra de
fournir aux jeunes des régions les plus démunies une alternative à la solution
de l’émigration et de contribuer ainsi à la modernisation et au décollage
économique de leur pays ».