Tout le monde se souvient du scandale de la #Soderag et du nombre conséquent d’entrepreneurs désireux d’investir en #Martinique, en #Guadeloupe ou en #Guyane et qui ont fait les frais de cette société de développement régional qui a causé la ruine de plusieurs centaines de petits patrons.
Certains ont vu leurs remboursements de prêts accordés par la Soderag devenir 10 fois supérieurs à ceux escomptés !
Cette affaire reprend force et vigueur grâce aux conseils, interventions et actions procédurales d’un Avocat parisien. Le processus judiciaire est relancé par une plainte avec constitution de partie civile.
En effet, le 16 avril dernier, Maître Claude Deboosère-Lepidi a réitéré la plainte auprès du doyen des juges d’instruction.
L’objet de la plainte est identique à celui évoqué en 2012: dénoncer le fait que la Soderag a procédé à des opérations de banque, des cessions de prêts notamment, alors qu’elle n’était plus banquier ! Elle n’avait plus d’agrément financier.
L’ avocat parisien s’appuie sur trois éléments essentiels : un arrêt du conseil d’état, un arrêt de la chambre criminelle et un rapport du comité monétaire et financier. La plainte déposée par de nouveaux plaignants est à l’encontre de la Sofiag venant aux droits de la Soderag, de la Sodema et de la Soderag.
L’affaire Soderag est donc relancée.
Contact : « Justice en 3D », Dina Tosato : 0696 73 42 35 ou 0596 76 41 92 Dina.tosato@wanadoo.fr
*L’Association Justice en 3D ( Dom, Droit, Défense ) renforce ses actions. Elle s’adresse aux acteurs du tissu économique et social, qu’ils soient chefs d’entreprise, artisans, commerçants ou particuliers, tous victimes d’un système abusif.
Elle invite tous ceux qui ont été victimes du système à les rejoindre. De nombreux adhérents de l’association ont déjà engagé différentes actions en vue d’obtenir réparation des préjudices subis et de faire valoir le respect des grands principes démocratiques. Même s’il y a eu saisie, même pour ceux qui ont trouvé une négociation ou qui ont terminé leurs créances, l’espoir est permis d’obtenir que justice leur soit rendue. C’est le cas de personnes qui ont été flouées par la Soderag (Société de développement régional Antilles-Guyane) et les filiales qui en découlent