– pourquoi décide-t-on a priori des centres d’intérêt des vacanciers estivaux ? N’y a-t-il pas d’autres vecteurs que le Tour des Yoles (fort captivant au demeurant), les rhumeries ou les boites de nuit pour apprécier la Martinique ?
– pourquoi le patrimoine de LA ville historique, St Pierre, est-il si peu mis en valeur, laissé à la libre errance du visiteur ?
– pourquoi est-ce mission impossible de trouver une visite guidée, un conférencier, en dehors des initiatives privées (le plus souvent très réussies mais hélas peu relayées)
Me voilà indignée et surtout inquiète du sort que l’on réserve aux curieux, aux visiteurs, aux vacanciers, jeunes ou vieux, résidents ou touristes, et surtout attristée de l’image que l’on véhicule ainsi de cette île si belle et si riche…
Gisèle Dronne
Professeur agrégé de Lettres classiques,