Toujours est-il que, d’après la plainte déposée, Debrahlee Lorenzana a de multiples preuves pour appuyer ses accusations : des comptes-rendus de réunion, des copies d’emails, des photos de collègues femmes habillées comme elle ou de manière plus provocante.
De son côté, la banque Citibank affûte sa défense et a déclaré dans un communiqué :
» Nous pensons que cette plainte n’a aucune valeur et nous nous défendrons vigoureusement. Nous respectons la vie privée de tous nos salariés et par conséquent nous ne pouvons donner plus de détails concernant ce litige, les performances de cette ancienne salariée, ou les raisons de son licenciement. C’est à un jury de répondre à ces questions. Le groupe Citi s’est toujours engagé à promouvoir l’intégration et à assurer un environnement respectueux sur le lieu de travail. Nous nous engageons fortement en faveur de la diversité et nous ne tolérons aucune discrimination dans notre entreprise. »