Un des principaux acteurs du scandale du chlordécone en Guadeloupe et en Martinique est mort aujourd’hui.
La Martinique et la Guadeloupe ne peuvent pas se réjouir ni lancer des hourras. Ces deux territoires de France doivent faire montre de résilience, de « résignence ». Au choix . Pourtant cet homme a signé moult documents pour autoriser l’utilisation de ce pesticide tueur.
En 1992, le socialiste Louis Mermaz avait signé en tant que ministre de l’agriculture une dérogation autorisant la poursuite de l’emploi de la chlordécone en Guadeloupe et en Martinique, malgré son interdiction légale en février 1990. Une seule chose est sûre il ira sûrement au paradis. Paroles d’Antoine Crozat.
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