Voilà l’histoire d’un enfant de cinq ans qui souffre l’enfer au coeur d’un drame familial. Un drame humain. Un drame invivable. Un drame indigne dans les yeux d’une justice aveugle qui entre la Martinique et la France fait gravement injure aux droits de l’homme et de l’enfant.
Un avocat met en lumière cette indécente affaire sur le réseau social Twitter…
En 2022, le 15 juillet, une juge des enfants Tribunal pour enfants de Paris, décide de maintenir un enfant de 5 ans en placement auprès du service d’aide sociale à l’enfance ASE, après une intervention musclée le 1er juillet, où l’enfant s’est vu soustrait des bras …
de sa mère et de sa grand-mère par les forces de police, autorisées par le substitut du procureur, lui même contraint par une ordonnance du même juge du 29/06/22 rendue sur la foi d’un rapport d’un docteur Franck Moquin, faux expert psychiatre.
La juge des enfants (JDE) reprochait à la mère d’avoir soustrait l’enfant au droit d’hébergement du père. Or le père est suspect de violences sur son fils et d’agressions sexuelles. L’enfant de 5 ans l’a verbalisé, l’a mère a déposé plainte le 30/10/21 et les policiers ont …
demandé à la mère de ne remettre l’enfant au père en aucun cas. La mère ne représente pas l’enfant, le père dépose plainte auprès du commissariat 4ème, la mère part en garde-à-vue, avec grand-mère, l’enfant est remis au père, potentiel agresseur sexuel. Un dr Moquin, faux.
expert est appelé par les policiers du 4ème pour faire un « rapport » psy de la mère. Moquin conclut sans ambage, et sans fondement réel, « paranoïaque » incurable, contre la réalité et l’avis de tous médecins ou psy ayant vu la mère. Celle-ci sort de garde-à vue le 24 mars 2022…
Fin mai 2022, la mère récupère enfin l’enfant et constate… des fissures anales sur son fils. Constat UMJ, même recommandation des policiers, ne remettez pas votre fils à son père! La mère garde le fils, se sentant protégée par les injonctions des policiers. Le père…
dépose plainte de nouveau en vain… Il saisit le Juge des enfants, produit le rapport du prétendu expert Moquin, mère « paranoïaque », ordonnance JDE de placement du 29/06/22 avec assistance de la force publique. Force publique intervient, porte cassée, enfant terrorisé, mère…
et grand-mère éplorée, « Les misérables »…mais en vrai. Je récupère le rapport Moquin, vous aurez la 1ère page en fin de thread. Faux grossier, pas expert, pas de réquisitions, pas visé par un OPJ ou par le parquet. Bingo, je fais une inscription de faux, l’ordonnance…
du 29/06/22 fondée sur un faux ne plus tenir… Le JDE à qui j’ai demandé de se rétracter nous entend le 13 juillet et rend son ordonnance le 15 juillet… maintien du placement de l’enfant de 5 ans, si le rapport Moquin est faux.. ce n’est pas à elle d’en juger, dit-elle..
déni de justice, et d’honneur, elle le devait dès lors que saisie de l’inscription de faux. La juge se fonde sur un rapport mensonger de l’aide sociale à l’enfance (ASE) prévenue contre la mère sur la base du faux rapport Moquin, sur laquelle se fonde la première ordonnance..
La « vérité » judiciaire ne s’est pas embarrassée ici de faux grossier et un enfant de 5 ans dort ce soir loin de sa mère et de sa grand-mère, celles-ci sont mortifiées…
Mais pourquoi, pourquoi ai-je, ce soir, la réminiscence lancinante de la rafle du Vel d’Hiv…
certain de ceux qui prétendent rendre la justice au nom du peuple français se foutent bien de tout principe de droit, de vérité et d’humanité…
« L’infraction reprochée (NdA non représentation d’enfant) peut être en rapport avec une perception et une interprétation de sa situation de son enfant et de soi-même. On peut évoquer un sentiment de persécution et de danger qui paraît exagéré entraînant des démarches médicales..
et judiciaires … le trait saillant de la personnalité est paranoïaque… » dixit Moquin Le gamin a reçu des coups lorsqu’il était avec le père et il présente une fissure anale… la mère qui rapporte cela à la police est donc paranoïaque et entame des démarches médicales…exagérées… et la juge suit le faussaire Moquin, enferme l’enfant de cinq ans et condamne la mère au malheur… Misère de cette justice… on ne va toujours pas s’en satisfaire, on ne va pas cohabiter.