« La lutte pour le développement durable est un état d’esprit qui ne se décrète pas à grands coups de sommets internationaux, comme celui de Copenhague. La preuve, ce sommet a échoué » a expliqué Jean-Luc Meissonnier.
Avant d’ajouter: « Comme Brassens qui chantait que la bandaison, ça ne se commande pas, j’estime que l’avenir de notre planète passe d’abord par un petit effort personnel de chacun. C’est le sens de mon message de voeux. »
Le gingembre est « une racine naturelle, qui se ramasse à la main », souligne-t-il
Jean-Luc Messonnier n’est pas à son premier coup d’essai: l’an dernier, il avait envoyé un préservatif pour présenter ses voeux, avec le slogan : « actions en bourses, bourses en action ».