Une employée du Comité Martiniquais du Tourisme a saisi le Conseil de Prud’hommes de Paris pour harcèlement moral. En effet, elle a cherché à dénoncer ses conditions de travail, notamment le fait que son bureau n’ait pas été cloisonné alors qu’il se trouvait à proximité d’importants travaux effectués dans les locaux du CMT. Elle aurait également subi une rétrogradation. En outre, l’employée, dont l’état de santé s’est dégradé, a fait l’objet de plusieurs arrêts maladie.
Par ailleurs, elle ne semble pas être la seule parmi les employés du CMT à faire face à des conditions de travail difficiles.
Ce sera au Conseil de Prud’hommes de juger si la dégradation des conditions de travail évoquée par cette employée peut être qualifiée de harcèlement moral.