Misogynie ? Non pas du tout … enfin, on espère. En tout cas, ces deux hommes pourraient bosser le samedi chez Somarec, tellement ils aiment la gente féminine.
Le problème est ailleurs. Le vrai hic c’est l’affaire #Ceregmia.
Les présidents des Régions #Guadeloupe et #Martinique ont une peur métisse du quasi séisme sociétal que pourrait provoquer l’avancée de ce dossier nébuleux.
La présidente Corinne Mencé-Caster est donc la chiante, celle qui veut mettre son nez dans ce manjé kochon déguisé en migan visqueux. Une mécanique à niquer en millions l’argent public comme les enquêteurs du SRPJ n’ont jamais vu.
Pourtant, aux dernieres nouvelles, eh oui les nouvelles vont vite, ils auraient trouvé de la matière, des éléments palpables et surtout capables de prouver que la nasse menace les tenaces truands. Et dans les jours prochains, des auditions pas tendres vont se faire entendre… On parle d’un sociologue tout en « logue »qui envisage le dialogue pour s’assurer un moindre épilogue.
Une chose est sûre, la détresse cache mal son stress. Aussi on peut comprendre que les deux « L » régionaux, zélés au maximum, tentent le tout pour l’étouffe.
Mais pourquoi ? Mais parce que… en cette année électorale, tout scandale sera fatal (enfin, on espère aussi que ce n’est que pour ça… éviter le scandale).
Alors… on fait des coups de fils, on parcourt en boucle les couloirs de l’Assemblée nationale pour un ultime baroud d’honneur au bord du désespoir. On appelle la ministre pour étêter une présidente …infâme ? Femmes.
Pour savoir si ce plan décoiffant fonctionnera… rendez-vous le 19 février 2015 dans l’hémicycle. En attendant… dans les locaux du SRPJ en Martinique, l’affaire Ceregmia a déjà livré beaucoup de ses secrets. Les enquêteurs savent. Nous aussi. Et de vous à moi… nous ne sommes plus les seuls. A suivre.
