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Victor Schoelcher : pourquoi les « historiens » de Martinique nous prennent pour des pigeons ?

Depuis le 22 mai de l’an 2020, le nombre d’historiens au m2 a brusquement augmenté en #Martinique. Selon les chiffres de l’ARS et des ministère de la santé mentale, ils seraient plus de 360 435. Chacun fait gicler son éjaculât littéraire sur moult réseaux sociaux. Pourtant tous ces gens étaient 24 heures plus tôt les parfaits enculés (tous sexes confondus) garants de la surdité consciente de la France leur mère patrie.

Pourtant, partout dans le monde, des statues chutent avec ou sans chut. En Martinique, notre chère société FACTICE cela ne se peut. On ne touche pas à Victor Schoelcher. Schoelcher c’est notre Tarzan. Notre Blek le roc, notre bwana à nous. Et surtout le franc-maçon des francs-maçons.

Tout cela n’est que conflit d’imagerie. Ce jour en me réveillant, je me suis interrogé. Que peut penser un enfant noir à qui Antoine Crozat dit que ses ancêtres sont des gaulois. C’est une bonne question. Serge Letchimy, Gilbert Pago, le Comte de Blénac, Jean-Baptiste Patoulet et Elisabeth Landi ont sûrement la réponse.